Hellow ♥ Je suis choi tae hwan, née le quinze avril, et oui j'ai 18 ans. Je viens de abyrna ! Pour le moment, je suis étudiant en art et je confectionne des objets traditionnels en bois et je suis issue de la classe des/du bourgeois ! Mon père est un abyrnos et ma mère est une elfe, ce qui fait de moi un(e) sang mêlé. Je dois vous avouer que j'aime beaucoup les /femmes et actuellement je suis un célibataire bel et bien amûreux ♥ J'aimerais beaucoup faire partie des lotus parce que ma fiction favorite est le petit chaperon rouge et s'il y a un héro que j'adore c'est bien le bucheron. On dit de moi que je suis insolent et déliquent(car chez lui on peut vraiment définir ce terme comme un adjectif caractériel), téméraire et intelligent , profiteur et jaloux mais tout de même attentionné, doux et sensible.

mirror mirror.

•• question 01 ; pendant que Le Conteur te chante sa berceuse, tu rêves...mais de quoi rêve-tu mon mignon ? Moi je rêve de quoi ? Je rêve de la belle au bois dormant, celle avec qui je ferais peut-être ma vie. Vous savez, celle qui illumine vos jours et vous souris même quand vous faites une bêtise ? J'aime cette fille. J'aime Pearl. Mais si vous saviez comme je me sens triple idiot à ses côtés. Je m'autorise juste à la voir, lui parler, lui donner ces "ordres" qu'elle veut absolument accomplir. Je m'autorise à rêver d'elle, au lieu de l'embrasser, la prendre dans mes bras ou simplement la toucher. Je ne m'autorise qu'à rêver de cela. Et la berceuse du Conteur, me rappelle ce jour où nous nous sommes rencontrés, et souris.

•• question 02 ;Que penses-tu de ses humains venu d'ailleurs ? Je n'ai rien contre les humaines. Ils sont surement aussi humbles et utiles que n'importe quel être dans Abyrna, non ? Je n'ai aucun préjugés contre eux. Si je dois les aider, je le ferais. Si je suis en difficulté... j'espère juste qu'ils auront un coeur aussi bon que le mien. Mais dans le cas où rien ne se passe entre nous, je m'abstiens et je reste à l'écart.

my story.

HISTOIREQuand ce gamin est né, on a dit de ses parents qu’ils étaient irresponsables. Troisième fils de la famille, il était le seul à porter des lunettes à l’âge de cinq ans. Ce gamin ressemblait à peine à son père. Certains se demandaient si il était bien la progéniture de Papa Choi. Cependant, qui aurait eu la preuve infaillible qu’il ne l’était pas ? Personne ne s’en souciait guère, mais, différent des autres fils de la famille, il était traité comme une fillette, rien de plus. Toujours fourré dans les jupons de sa mère, il se laissait frapper par ses frères, violemment. Des bleus immondes naissant sur sa poitrine et ses bras menus, ainsi que des marques noirs et bleutés autour de ses yeux et sur ses joues. Il semblait pathétique cet enfant. Indissociable des autres à l’école, au départ, il finissait par être l’un des meilleurs élèves, ainsi que l’un des meilleurs absents de l’année. Toujours malade, toujours blessé, il séchait régulièrement l’école, jusqu’à ce qu’une assistant sociale découvre la supercherie du garçon : il avait peur du regard des autres. Choi Tae Hwan était un garçon doué pour son âge. Il réalisait des équations que même un élève de la classe supérieur ne réaliserait pas. Il avait un coup de crayon particulièrement bon. Et puis, il savait jouer de ses dix doigts sur une guitare ou un piano sans connaitre un son de solfège. Tae Hwan était un enfant « béni des dieux » et pourtant, cela ne lui empêchait pas de jouer un jeu dangereux. Le jeu c’était le suivant : « Tu seras le roi et moi ta courtisane. Je te servirais et je t’obéirais. Tu me donneras des ordres et je les effectuerais. » Tel était le châtiment qu’on lui offrait, quand Papa Choi fut engagé par un riche noble dont la fille finissait par s’intéresser à lui – le gamin qui s’enfermait dans son placard quand ses parents se criaient dessus et se disputaient. Au fond, Tae Hwan a toujours su que son père battait sa mère, mais quand elle mourut avec sa petite sœur de six ans, là, il sut qu’il avait surement tort de lui en vouloir, et de presque le détester. A ce moment précis, la vie de Choi Tae Hwan semblait couler dans la démesure et le carnage total, et pourtant, la petite fille rayonnante qui vivait à côté de chez lui, dans cette maison qui faisait de l’ombre à la sienne, elle embellissait ses journées du mieux qu’elle pouvait. Un jour, elle lui ramenait des cookies fait maison immangeables. L’autre, elle revenait avec des jeux de cartes et lui apprenait ce que son père à elle, lui avait appris quand elle avait six ans. Le manque de sa petite sœur s’en allait peu à peu, ainsi que celui de sa mère – et elle remplissait rapidement, dans son cœur, cette part d’amour qui lui manquait depuis des années. Sans savoir pourquoi, elle était devenue extrêmement importante dans sa vie, mais plus le temps passait et plus il enchainait les bêtises. Plus il grandissait, plus il devenait incontrôlable.

« Oy, oy, Jin Woo, tu l’as ? »

Tout à commencer quand il s’est mis à fréquenter Jin Woo et Jae Sun. Ils étaient de parfaits amis, mais quelque chose derrière cachait leur vraie identité. Enrôlant par la suite, Tae Hwan, celui-ci ne pouvait décemment plus faire marche à rien face à ce qu’on lui avait donné. De la drogue ; en bonne et due forme. Et il semblait contraint à la vendre à un prix raisonnable, à qui il voudra, tant qu’il ramènerait de l’argent à ses patrons le soir même. Très vite, il passait moins de temps avec la « courtisane » et passait ses soirées dans les bars, dans les boites de nuit, fréquentant pas mal de gens qui ne réussiraient pas à l’aider dans sa vie. Il savait dans quoi il s’engageait, mais au fond, comment pourrait-il sortir de tout cela maintenant qu’il y était perdu pour toujours ? Ahn Pearl, sa courtisane, sa princesse, sa meilleure amie, elle-même ne connaissait pas les problèmes qu’il endurait. Il restait silencieux, la voyait le soir devant un film ou lorsqu’elle lui faisait le bain – comme à un bébé de cinq ans qui ne saurait pas utiliser une savonnette. Ce jeu durait depuis tant d’années qu’il s’y était bel et bien habitué. Seulement, les règles à ne pas enfreindre devenaient extrêmement compliqués à ne pas déjouer. Chaque jour il désirait la voir, mais elle n’était pas dans sa chambre quand il frappait avec un caillou à sa fenêtre. Elle aussi, elle vivait un carnage. Elle aussi, elle ne savait plus où elle en était, mais à la différence de lui, Tae Hwan en était conscient. Il la voyait fréquenter des plus vieux à l’école, des professeurs parfois, qui glissaient leurs mains un peu trop bas dans son dos. Mais il se retenait d’aller les frapper à mort, il savait que si il ne se montrait plus indifférent à elle en public, le jeu serait terminé. Au fond, c’était ce qu’il désirait le plus, mais comment le lui dire quand finalement le cœur qui se trouvait au creux de sa poitrine ne cessait de battre quand elle était juste là, face à lui, ne lui permettant pas de parler comme il l’aurait voulu. Toutes les femmes qu’il avait rencontré dans sa vie, elles étaient toutes aussi jolies que Pearl, toutes aussi frivoles et charmantes, mais aucune n’eut pu faire battre son cœur aussi vite que quand Pearl était là. Sa mère aurait su, peut-être aurait-elle été heureuse. Elle adorait tressé les cheveux de Ahn Pearl et ses petites sœurs quand elle était encore dans la maisonnette qui bordait celle des Ahn. Mais à présent, personne ne pouvait l’aider à trouver l’ame sœur et à trouver la voie qui lui permettra de devenir meilleur qu’il n’est aujourd’hui. Car doté d’une carrure à peine passable, il passe pour un idiot qui ne sait pas se battre. Car doté de doigts fins et longs, il dessine de grande chose pittoresque, qui attirerait l’œil d’un grand peintre si il n’était pas cachotier. Derrière ses dessins, il sculpte aussi, des tonnes de poupées, et d’objets. L’une de ses dernières sculptures représente Pearly, mais celle-ci, il la cache derrière une planche en bois de sa maisonnette.

« Vous êtes talentueux, Choi sunbae. Je suis sûr qu’un jour, je serais aussi doué que vous. »

Et la révélation ne se faisait guère plus attendre : Choi Tae Hwan a un vrai talent. Choi Tae Hwan a un avenir. Choi Tae Hwan grandit.

CARACTEREOne day, you’ll be the king. Ce petit garçon, c’est toi. Tu ris face aux rayons de soleil qui éclaire magnifiquement ta chevelure marronné. Face au visage de ta douce mère, tu ne réclames rien d’autre que ce sentiment d’apaisement qui te traverse si souvent quand elle te regarde et te souris. Bien entendu, il y a bien longtemps que tu n’as plus eu envie de sourire comme tu le faisais quand elle était là. Même avec ta petite sœur, c’était ce magnifique rayon de soleil qui te représentait. Tu étais heureux, épanouie. Tu avais tout pour plaire aux petites filles de ton quartier, mais ce n’était décemment plus assez, quand ta mère et sa sœur eurent quittés cette terre, car, de là, l’enfer commençait. Ton sourire s’était effacé. Une mine effroyable s’était levée. Tu ressemblais plus à un zombie qu’à un enfant épanouie d’aller à l’école. Tes notes chutaient. Et pourtant, ils savaient tous que tu étais un enfant doué, très intelligent et que tu gâchais ta vie pour une bricole de rien du tout. Pour toi, la mort de tes proches n’était pas nécessairement définie comme une « bricole », et ça t’affectais un peu plus, qu’on le voit ainsi, alors que tu prenais à cœur le manque profond qui s’installait en toi. En primaire, tu dessinais des dessins plus magnifiques que ceux des autres. Tes tracés étaient réguliers. La maitresse t’avait fortement conseillé de continuer dans cette voie, pour devenir artiste. Tu n’y croyais pas un traitre mot quand, l’an dernier, le professeur d’arts plastiques t’a répété la même chose. Pire, tu lui craches presque à la figure. Tu deviens insolent. C’est comme cela que tu as vécu ta vie d’enfant, de petit garçon perdu, de futur adolescent endurci.

It’s the time, the time to reign. Le temps passe, et tu deviens de pire en pire. Le délinquant au fond de toi accumule les bêtises et les sorties à vingt deux heures du soir alors que tu as cours le lendemain. Mais tu t’en fiches éperdument. Egoïste, tu joues la carte de l’amusement et d’une vie librement choisie. Idiot, puérile et hautain, tu t’es créée une carapace que même ton père ne pourrait détruire, que même Pearl ne pourrait fracturer. Tu es impardonnable pour tes mauvaises actions. Tu es incontrôlable quand t’as tes mauvaises paroles prononcées malencontreusement à des personnes qui te sont chers, quand tu as bu dix verres de whisky. Pearl, tu l’as déjà blessée. Et c’est peut-être être la clé de tout, tu ne sais même pas toi-même. Tu es perdu. Quand tu vois une fille, tes instincts de prédateur, de charmeur, prennent le dessus et tu attaques. Tu as beaucoup de charisme, ce n’est pas nécessairement de ta faute. Puis, tu es parfois trop superficiel pour te rendre compte que tu fais encore trop jeune… beaucoup trop jeune… M’enfin. Tu es un vrai gentleman quand tu le veux, et une vrai bête sanguinaire qui ne désire juste que s’envoyer en l’air, quand tu le veux aussi. C’est le matin après une soirée bien trempé, que ton visage reflète la fatigue, que Pearl te frappe parce que tu n’as pas pris ton bain de 20h, qu’on te pose une question : Que veux-tu faire de ta vie ? Quel est ton but ? Blanc. Trou noir. Tu ne sais pas, et tu sombres dans un malaise de quatre heures parce que tu n’as pas assez dormi.

It’s over. The game is over. Tu t’es promis de grandir. Tu t’es promis de rendre la fierté de ta famille en travaillant. Ton premier but c’est d’arrêter la drogue. Le second d’arriver à accumuler de sérieuses bonnes notes. Comme-ci tu n’en étais pas capable. Le gamin de dix huit ans qui se reflète dans le miroir d’en face, c’est toi. Il a un visage rond, des lunettes parce qu’il est chez lui et personne ne le voit. Ses cheveux sont en bataille. Ses yeux sont marrons. Il sourit légèrement. Tu te souris à toi-même. Tu te dis qu’il est temps de changer. Qu’autrefois, ta mère adorait te voir travailler d’arrache-pied sur tes dessins. Alors, le matin, à cinq heures, tu ressorts les vieux patrons d’autrefois et tu revois son visage. A ta petite sœur. A ta mère. Elles te motivent. Et Pearl aussi, elle fait partie de ces dessins ignobles de petit garçon de treize ans. Elle sourit. Elle a des fleurs dans les cheveux. C’était le jour où ta mère l’avait coiffée. Tu t’en rappelles encore, comme-ci c’était hier. Elles sont là, dans ta tête. Elles te protègent et tout ira bien. C’est ça que tu es : un homme, courageux, talentueux, qui va faire ses preuves au moment venu.

and Me.

Alors moi c'est Lucile. Mais à la base, vous savez, j'aime pas mon prénom, enfin c'qu'un détail et on s'en fiche ^.^ Donc mon ancien pseudo est Lulute, maintenant, je préfère Luu ♥ J'ai dix huit ans, et j'entre à la fac en septembre *paf* J'adore littéralement votre contexte, parce que sérieusement : DES ELFES ET DES FEES ! /paf/ Et puis, au départ, j'voulais venir avec Joo Won, mais comme mon Tae Hwan a mouru sur Stfu, j'me suis dit que je pouvais le faire iciiii. Donc, voilà. C'est un petit topo... Ehm. Si vous voulez savoir d'autres trucs, dites le moi, j'suis un peu nunulle en présentation courte de moi, donc euh... Voilaaaaaaaa.

• Scénario [] Inventé [x]
• Mon niveau rp : [] débutant [x] moyen [x] expert - je sais pas mwaaa xP
• J'ai découvert le forum : En fait, j'ai voté à mes tops sites sur LLTK, et pof, je suis tombée sur vous. D'ailleurs, je veux un partenariat ♥
• Le code du règlement : CODE BON, JULIAN o/

félicitation, tu es validé(e)

Et pour finir : BON RPG ♥