Baek Hae Sung
feat Park Yoochun
Hellow ♥ Je suis Baek Hae Sung, né le 10 octobre 1984, et oui j'ai 27ans. Je viens de Corée ! Pour le moment, je suis Pianiste/Dessinateur. Je dois vous avouer que j'aime beaucoup les hommes et les femmes et actuellement je suis amoureux ♥ J'aimerais beaucoup faire partie des Jack Sparrow parce que ma fiction favorite est Elizabeth et s'il y a un héro que j'adore c'est bien Rudolf. L'histoire de mon personnage est presqu'identique à la fiction. Le caractère de mon personnage est presqu'identique à mon personnage de fiction.
On dit de moi que je suis stréssé/ dépressif , calme , intelligent et frivole Trait de caractère .
mirror mirror.
•• question 01 ; pendant que Le Conteur te chante sa berceuse, tu rêves...mais de quoi rêve-tu mon mignon ?De liberté, sans nul doute. Ces chaines qui se briseraient autour de mes chevilles pour enfin me laisser vivre comme je l’entends. Sans quiconque à surveiller mes moindres gestes, à rejeter ce que je suis d’une telle force que j’en suis à chaque fois, un peu plus détruit. Revoir la mort qui elle-même n’a pas voulu de moi et m’a livré à l’une de ses faucheuses aussi charmantes soit-elle... mourir dans ses bras encore en me noyant dans son regard... que dis-je ? La posséder comme ces mélodies impétueuses qui me trottent et dont-il est mon inspiration...
•• question 02 ; quel est le héro de ton enfance et pourquoi ? Sans nul doute ce pauvre homme à l'origine du pays imaginaire, James Matthew Barrie. Un homme qui n'avait pas peur de ce que les gens pouvaient penser de lui et qui a pris grand soin de ses personnages de fictions fortement inspiré de la réalité. Le monde des hommes et plus abrupte qu'il n'y parait et il l'adoucit, d'une façon remarquable, se plongeant dans un monde imaginaire... et enfantin, rassurant, en somme. J'aimerais revivre mes jeunes années... parfois
my story.
"De cette famille, je suis l’ainé, responsable et toujours blâmé de ne pas être a la hauteur de ses exigences. On m’a mis au monde pour perpétuer les traditions familiales. Depuis ma naissance, je suis le rejeton adoré de madame et le reflet exact de mon paternel. Lorsque j’étais enfant, on ne pouvait me reprocher mon caractère, aussi indépendant étais-je et différent des autres nobles, j’étais innocent à leurs yeux et tendrement aimé par mes deux parents, malgré le peu d’attention que m’accordait mon père. Sans que je ne m’en rende compte, il préparait secrètement des plans bien précis pour mon avenir, chose qui m’aurait fait grimper au rideau à l’époque si j’en avais été conscient.
Tout était merveilleux dans le meilleur des mondes possibles, j’étais choyé et je n’avais aucunement à me plaindre si ce n’est de ma solitude flagrante dont pourtant je refusais à me séparer. Et ça ne s’arrangea pas lorsque par inadvertance ma main effleura quelques touches de cet instrument imposant et si délicat. Je me souviens encore, de la première fois que j’effleurais ses touches, parcourant de mes doigts ses noirs et ses blanches pour que résonnent dans la pièce son émoi. Je pue prendre des cours, grâce à ce « don » parait-il qui m’habitait pour finalement me réfugier un peu plus dans mon monde.
Autant dire que « père » n’était pas content. Avais-je prononcé ce mot après avoir fêté ma 10e année ? Mon seul ami réduit en tas de bois et de touches afin de réfréner ma passion dite « dévastatrice, puérile et inutile » afin que je me concentre sur l’avenir de notre famille, de ses biens et prenne enfin mon éducation au sérieux. Je savais les Sylphes intelligents, mais à ma connaissance sur le sujet, nous devions être protecteurs, non castrateurs...
En m’opposant à l’autorité de la maison, je faisais affront aux miens, qu’ils soient d’accord avec moi ou non. Ma mère silencieuse regardait d’un air triste mon visage opalin comme pour réclamer la paix dans la demeure et je ne pouvais le lui refuser, me taisant. Cependant, pour échapper à mon bourreau, j’avais besoin de lui, de mon piano. Je me rendais dans des endroits peu fréquentables, adolescent et déjà attiré par le danger, dans le seul but d’entendre sa mélodie qui m’appelait et ne réclamait que moi pour en jouer.
Femmes et hommes m’admiraient, tandis que de mes doigts je jouais sans m’en soucier, envouté par son chant. Jusqu’au jour où il me suivit, ou il porta atteinte à ma personne de la pire des façons, déversant sa haine en un flot de paroles que je n’avais jamais entendu de lui, crachant son venin si violemment qu’il me brulait les ailes jusqu’à ce qu’elles soient cendre, tenant mon bras si violemment que je dus m’évader mentalement pour ne pas succomber à mes pleures d’enfant. Je n’en étais plus un, un homme en devenir qui se voyait déjà frustré de ne pas avoir libre choix sur sa propre existence. Pour répliquer plus violemment encore, je répondis aux appels vicieux de mes prétendants hommes ou femmes, qu’importe, devenant ainsi le rebu de cette famille immonde qui se faisait si bien voir de tous. J’étais l’incarnation du mal-être de notre tribu, je ne m’en cachais même pas. Si bien que son indifférence finit par être un soulagement, jusqu’à sa prochaine intervention.
Vers l’âge de 20 ans, je crus enfin pouvoir mener ma vie comme je l’entendais, mais il n’en était rien en vérité. Je souriais peu, mais ce peu suffisait à faire fondre quelques coeurs, inintéressants, mais assez divertissants lorsqu’on est habitué à séduire pour satisfaire une domination que je n’exerçais pas ailleurs.
Mais un jour, je tombais sur cette jeune femme si frêle et si forte pourtant. Sa générosité fut telle que je ne pus faire autrement. Je m’en étais entiché bêtement. Notre amour filait parfaitement, durant deux années un mois et douze jours. Suite à quoi, issue du peuple, on ne me permit plus de la voir et j’appris qu’elle avait été envoyée autre part afin de s’en assurer. Qui pouvait bien m’arracher cet être si cher ? Nul autre que mon pire ennemi, celui qui depuis presque toujours me pourrit l’existence et ne s’en soucie pas. Égoïste, malsain, perfide et j’en passe ! Il m’avait enlevé le seul être vivant capable de me satisfaire pleinement, du moins, c’est ce que je croyais.
Déprimé, seul, mal aimé, ne supportant plus cette injustice, je décidais de la faire moi même et me rendit près d’une mer assez profonde pour accueillir mon cadavre. J’avais tout prévu, mes derniers instants passés avec un inconnu, une nuit de marche et cette eau glaciale présageant d’or es déjà ma fin tandis que je m’enfonçais accroché à moi le poids de toutes mes peines et de la pression exercée par mon père. L’eau, rassurante finit par me prendre dans ses bras pour m’encercler et m’accompagner durant mon supplice qui ne dura pas aussi longtemps que prévu, car je n’avais pas prévu ce bel inconnu, penché sur moi en me répétant que vivre était un privilège, ses lèvres sur les miennes... son gout salé, sucré, sa voix sensuelle et pourtant paniquée, calme malgré tout et d’une douceur infinie. Lorsque je repris mes esprits, je remarquais avec étonnement que je partageais bien plus qu’un simple bouche-à-bouche... avant qu’il ne s’échappe dans la noirceur de la nuit. Il est ma raison de vivre à présent, celle que je ne voudrais pas laisser tomber, celle pour laquelle je m’acharnerais et à laquelle je m’accroche comme un son à sa note... je le retrouverais coûte que coûte... et je m’assurerais qu’à mon bonheur et au sien il n’y ai pas d’obstacles, quels qu’ils soient."
et voila, je tiens à préciser que Kang Lauwliet postera d'ici demain, dans la semaine sinon ^^